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JointHealth™ insight   février 2015




Revenons 15 ans en arrière au moment de la fondation du comité ACE (Arthritis Consumer Experts), alors que la recherche commençait à suggérer que l’arthrose pouvait s’attaquer aux articulations bien avant l’âge moyen et même avant que les symptômes de douleur et d’inflammation ne se manifestent chez la personne atteinte. On assistait alors à un changement de paradigme dans la compréhension de l’arthrite qui modifiera profondément la donne pour les patients et leur famille, le gouvernement et les employeurs. En l’an 2000, le monde vu par les personnes arthritiques s’apprêtait à subir une transformation radicale suite aux conclusions de nouvelles recherches et à l’introduction sur le marché des médicaments biologiques pour le traitement des formes d’arthrite inflammatoire comme la polyarthrite rhumatoïde, un facteur de coûts indirects pour le système de santé et la principale cause d’incapacité au travail au Canada.

Avance rapide jusqu’à aujourd’hui où l’on constate que la situation est bien différente. Grâce aux chercheurs canadiens éminemment bien formés qui poursuivent le travail et continuent d’avancer en collaboration avec leurs homologues d’ailleurs dans le monde, on entend de plus en plus fréquemment les mots « prévention » et « rémission » dans les bureaux des rhumatologues partout au pays. On réduit la douleur, on augmente la qualité de vie et on constate que l’incapacité au travail est en baisse chez les personnes atteintes d’arthrite, celles-là même qui auraient été en bien plus mauvaise posture sans le transfert des connaissances de la recherche vers leur modèle de soins.

Dans ce numéro du Mensuel JointHealth™, nous examinons certaines situations liées à la recherche et qui illustrent la valeur de la collaboration entre ceux qui réalisent la recherche et ceux qui en utilisent les conclusions, des consommateurs comme vous et moi, atteints d’arthrite.

Cette collection d’histoires souligne l’impact significatif que peut avoir la recherche sur l’arthrite. Bien que chacune soit différente, elles incarnent, dans leur ensemble, l’engagement des chercheurs canadiens envers l’amélioration de la santé des Canadiennes et Canadiens atteints d’arthrite.


« Objectif du traitement » et « créneau favorable » : qu’est-ce que ces termes signifient pour vous ?



Dans le cadre des conférences tenues par l’American College of Rheumatology ou de la Société canadienne de rhumatologie, on lit et entend parler des résultats de la recherche sur les concepts « objectif du traitement » et « créneau favorable ». Qu’est-ce que ces constatations ont à voir avec les personnes atteintes d’arthrite, peu importe la forme ?



Créer un « créneau favorable »
Comme il n’existe aucun traitement pour guérir l’arthrite, les médecins auparavant ne pouvaient guère plus que gérer la douleur d’un patient, explique le docteur Kam Shojania, rhumatologue, professeur clinicien et chef de la division de rhumatologie de l’université de la Colombie-Britannique.

« Aujourd’hui, nous savons que l’action précoce est le meilleur des traitements », affirme-t-il, ajoutant que si les médecins prenaient l’habitude de prescrire, dans les premières semaines ou les six premiers mois de la manifestation de la maladie, des modificateurs de la maladie dans les cas des formes inflammatoires de l’arthrite, les chances d’atteindre une rémission à long terme seraient augmentées de façon spectaculaire.

« Rater ce créneau favorable est proprement désolant. Vous pouvez toujours traiter la maladie, mais le patient n’atteindra pas la rémission. Et tout dommage constaté avant de recevoir le traitement approprié est irréversible. »

Dans le traitement précoce de la polyarthrite rhumatoïde (PR), le « créneau favorable » de six semaines suivant le diagnostic positif est essentiel pour aider à éviter ou à atténuer les dommages articulaires, favoriser une rémission et préserver l’intégrité articulaire, car on a démontré que les lésions articulaires commencent au cours de cette période de six semaines. Par exemple, si l’on prescrit sans délai une trithérapie aux ARMM dans le cas d’une patiente ayant récemment reçu un diagnostic de polyarthrite rhumatoïde, le recours aux médicaments plus forts et plus coûteux sera repoussé et même jamais envisagé. De même, les modificateurs de la réponse biologique ont apporté des bienfaits importants dans le traitement de la PR au stade précoce (patients n’ayant jamais reçu de méthotrexate) et également lors de leur utilisation en association avec la méthotrexate.

La recherche sur le « créneau favorable » démontre l’importance, pour les patients arthritiques et le système de santé, des « cocktails » de médicaments agressifs et précoces, administrés le plus rapidement possible après la première manifestation de la maladie, comme c’est le cas pour le cancer, le VIH et autres maladies auto-immunes.

Le concept « objectif du traitement »
Un autre paradigme de traitement de l’arthrite implique l’adoption par les médecins de l’approche axée sur la rémission (la rémission devenant l’objectif du traitement). L’objectif est atteint lorsque la douleur, l’inflammation et les autres symptômes typiques de la maladie ont quasi ou totalement disparu. Au cœur de ce concept, l’amorce énergique du traitement et le passage à des médicaments successifs tous les deux ou trois mois, jusqu’à ce que la nouvelle association thérapeutique permette d’atteindre le contrôle optimal de la maladie.

Ce concept, appelé « objectif du traitement », a toujours été utilisé jusqu’ici dans le traitement de maladies chroniques comme le diabète, l’hypertension et le cholestérol élevé. La majorité des rhumatologues au Canada, aux États-Unis et en Europe choisissent maintenant cette approche dans le traitement de leurs patients atteints de PR ou d’une autre forme d’arthrite inflammatoire.

Auparavant, les rhumatologues privilégiaient une approche plus prudente axée sur l’atténuation des symptômes, une approche qui produisait des améliorations plus modestes de l’état de santé général sur une longue période et que l’on mesurait par pourcentages (20 ou 50 pour cent, par exemple). Aujourd’hui, ils travaillent plus étroitement avec leurs patients pour fixer un objectif de traitement décisif : l’atteinte de l’amélioration totale (ou 100 pour cent). Selon le concept « objectif du traitement », le contrôle total de la maladie est la cible et implique, lorsque cette cible est atteinte, que les patients reprennent le contrôle de leur vie et évitent les dommages articulaires permanents et d’autres conséquences négatives attribuables à la PR à long terme.

Les récents projets de recherche sont axés sur le développement des « outils de prévision » dans le but d’associer la bonne quantité et le bon niveau de soins à la bonne personne. Cette façon de faire exige le suivi étroit des patients chez qui on a récemment diagnostiqué une PR, et ce, dès le début de la maladie. Au cœur du concept « objectif du traitement » se trouvent le rhumatologue et son patient, évaluant ensemble les différentes options de traitement disponibles, examinant quel médicament, seul ou en association, est le plus approprié, établissant des objectifs d’amélioration et mesurant les progrès accomplis par rapport à ces objectifs pour ensuite adapter ou au contraire, poursuivre le traitement, jusqu’à ce que la rémission complète soit atteinte, le cas échéant.

Les paramètres d’évaluation du succès peuvent comprendre :
  • L’auto-évaluation du patient de son état général (comme le « QÉS »);
  • L’évaluation par le médecin des symptômes du patient au moyen de techniques d’examen standardisées et de questionnaires remplis par le patient;
  • Des analyses de laboratoire, comme celle qui détermine le taux de protéines inflammatoires dans le sang, pour montrer à quel point la PR a été affectée par le traitement.
Les chercheurs ont appris que les patients répondant rapidement à la méthotrexate (environ de 20 à 30 pour cent) récupèrent une excellente fonctionnalité à long terme. De plus, la rémission et une bonne fonctionnalité à long terme ont été associées à une réduction des risques de maladie cardiaque. Les rhumatologues s’efforcent inlassablement d’être en mesure de prévoir lesquels de leurs patients feront partie de cette catégorie, lesquels pourront s’en remettre spontanément ou au contraire, auront besoin d’un plan de traitement plus dynamique. Leur objectif : permettre à leur clientèle d’atteindre rapidement un niveau de santé optimal.



Le Canada possède une solide réputation comme leader international en matière de recherche sur l’arthrite. À la dernière rencontre annuelle (en novembre 2014) de l’American College of Rheumatology à laquelle assistaient des chercheurs de pointe de partout dans le monde, les études menées par des Canadiens étaient fort nombreuses. Voici quelques-unes des principales conclusions qui y ont été présentées :

Des outils pour aider les patients arthritiques à assurer l’auto-surveillance de leur maladie
Erin Carruthers, assistante de recherche au centre Arthrite-recherche Canada, a effectué une présentation sur l’utilisation des indicateurs de résultats du patient pour la classification de l’activité de la polyarthrite rhumatoïde et plus particulièrement, la comparaison entre l’indicateur d’activité du patient (Patient Activity Score) et l’évaluation régulière des données de l’index du patient (Routine Assessment of Patient Index Data).

Aider les personnes atteintes de polyarthrite rhumatoïde à surveiller l’activité de leur propre maladie stimule la participation active des patients à leurs soins et peut aller dans le même sens que la stratégie de l’« objectif du traitement » en les alertant lorsque les objectifs ne sont pas atteints, leur indiquant ainsi le besoin de consulter leur médecin pour réévaluer le traitement. L’étude a comparé les résultats déclarés par le patient pour ensuite mesurer son acceptation des états de la maladie tels qu’évalués par le rhumatologue, au moment d’une visite de suivi. Les résultats suggèrent que les questionnaires d’auto-évaluation permettent au patient d’exercer une auto-surveillance de sa maladie. Un questionnaire en particulier, le PASII, a généré le niveau le plus élevé de concordance entre l’évaluation du patient et les évaluations du rhumatologue.

Les médicaments durant la grossesse pour les patientes atteintes de lupus
Dre Mary De Vera, professeure adjointe à la Faculté des sciences pharmaceutiques de l’université de la Colombie-Britannique, et son équipe ont présenté un rapport sur leur étude, réalisée parmi la population, portant sur les caractéristiques de consommation de médicaments avant, pendant et après la grossesse chez les femmes atteintes de lupus érythémateux disséminé.

L’équipe du docteur De Vera a évalué l’utilisation des médicaments chez les femmes enceintes atteintes de lupus, résidant en Colombie-Britannique. La plupart des grossesses aux différents trimestres ont été exposées à l’hydroxychloroquine et (ou) à la chloroquine (de 41 à 45 pour cent des trimestres des grossesses exposées). L’équipe de recherche a également observé une hausse de l’exposition aux corticostéroïdes (comme la prednisone) pendant la grossesse, de même qu’après l’accouchement. Ces constats renforcent l’importance des conseils aux femmes sur les décisions en matière de procréation de même que le besoin d’évaluation du rapport risque/bénéfice de l’utilisation des médicaments pendant la grossesse.

L’arthrite chez la population des Premières nations
Dre Cheryl Barnabe, chercheuse de pointe à l’université de Calgary, a dirigé une équipe de chercheurs dans le cadre d’une étude sur la prévalence des formes d’arthrite inflammatoire chez la population des Premières nations, en Alberta.

La fréquence de la polyarthrite rhumatoïde, de la spondylarthrite ankylosante et de l’arthrite réactive a été estimée comme étant deux fois plus élevée chez la population des Premières nations. L’étude a conclu, en revanche, que l’arthrite psoriasique était légèrement moins fréquente dans cette population. Les formes d’arthrite avec cristaux, comme la goutte, ont supplanté la polyarthrite rhumatoïde comme la forme la plus fréquente d’arthrite inflammatoire chez les peuples non autochtones, avec une fréquence trois fois plus élevée que chez le groupe des Premières nations.

L’utilisation de la technologie par les patients et les professionnels de la santé
Dre Anne Townsend, associée en recherche au Département d’ergologie et d’ergothérapie de l’université de la Colombie-Britannique, a fait état des conclusions de son équipe de recherche sur l’harmonisation de l’éthique avec les technologies numériques en santé et le partage de la prise de décision, grâce à une série d’entretiens avec des patients et des cliniciens.

Des entrevues de patients atteints de différentes formes d’arthrite et d’au moins un autre problème de santé et de fournisseurs de soins de santé ont été réalisées afin de déterminer comment ils utilisent les différentes applications de cette nouvelle technologie en santé, comme la recherche en ligne de renseignements en santé, les applications pour le suivi en santé et les communications par courriel à propos de problèmes de santé. L’équipe de recherche a trouvé une gamme d’avantages (des patients mieux informés) et d’inconvénients (surcharge d’information) à l’utilisation de ces nouvelles technologies ainsi qu’un besoin de soutien, de directives et d’éducation, autant pour les patients que pour les fournisseurs de soins.



Le comité ACE est fier de souligner l’attribution du Prix du partenariat 2014 des Instituts de recherche en santé du Canada au centre Arthrite-recherche Canada et à son directeur scientifique, le docteur John Esdaile, en collaboration avec le comité ACE (Arthritis Consumer Experts) et Shoppers Drug Mart/Pharmaprix, pour avoir mis sur pied un programme novateur de dépistage de l’arthrite qui aide les Canadiennes et Canadiens à mieux prévenir l’arthrite et à la prendre en charge. Par leur programme de dépistage de l’arthrite Shoppers Drug Mart/Pharmaprix , ces partenaires ont démontré comment les chercheurs, les patients et le secteur privé peuvent coopérer pour offrir aux Canadiennes et Canadiens des solutions sur le plan de la santé. Les trois partenaires ont élaboré le programme de dépistage de l’arthrite suite à un projet de recherche mené au centre Arthrite-recherche Canada dont les conclusions confirmaient qu’une intervention précoce sur place, directement au comptoir de la pharmacie, pouvait dépister avec précision l’arthrose du genou et aider la personne à obtenir un avis médical approprié et à utiliser au mieux les médicaments en vente libre.

« Au nom des IRSC, je félicite Arthrite-recherche Canada et ses partenaires dont l’innovation a rendu plus accessibles le dépistage de l’arthrite et sa prise en charge. Nous sommes ravis d’avoir financé des recherches qui ont contribué à la mise sur pied de ce programme important. Ce partenariat illustre à merveille la force de la collaboration entre organismes et particuliers pour le bien des Canadiens. » indique Michel Perron, Vice-président, Affaires extérieures et Développement d’entreprise, IRSC.

Dans le cadre de ce programme, les pharmaciens de plus de 1 200 pharmacies Shoppers Drug Mart/Pharmaprix au pays ont offert aux Canadiennes et Canadiens un outil de dépistage de l’arthrite et des renseignements sur la maladie. Pour dépister la maladie au stade précoce, le programme comprend un questionnaire et un auto-examen articulaire. Il permet également aux Canadiennes et Canadiens atteints d’arthrite, en consultation avec le pharmacien, d’exercer une surveillance de leurs symptômes et de leurs médicaments à long terme afin d’éviter l’aggravation de la maladie. Le programme Shoppers Drug Mart/Pharmaprix de dépistage de l’arthrite est le premier et le seul programme au Canada conçu spécialement pour les femmes atteintes d’arthrite, une maladie qui affecte 2,8 millions de femmes au Canada, soit deux sur trois.

Réagissant à l’attribution du prix, Cheryl Koehn, fondatrice et présidente du comité ACE commentait en ce sens : « Cette collaboration entre Arthritis Consumer Experts (ACE), nos partenaires scientifiques, Arthrite-recherche Canada et Shoppers Drug Mart/Pharmaprix procure de grands avantages aux 4,6 millions et plus de Canadiens atteints d’arthrite qu’ACE représente. Ensemble, nous avons établi une pratique exemplaire pour le dépistage, la prévention et la prise en charge de l’arthrite dans des endroits aussi accessibles que des pharmacies situées sur les principales artères du pays, où vivent et travaillent les patients. Le comité Arthritis Consumer Experts est fier d’avoir assuré la codirection de cette initiative qui permet aux pharmaciens de Shoppers Drug Mart/Pharmaprix d’offrir de l’information utile sur l’arthrite, et de dépister ou de confirmer la maladie chez les patients au moyen de programmes de sensibilisation inédits, et ce, directement de leur comptoir. »


Le comité ACE a participé, avec les chercheurs du centre Arthrite-recherche Canada, à une présentation par affiches lors de la réunion scientifique annuelle de la Société canadienne de rhumatologie dont l’objet était la communication des résultats d’une enquête sur les priorités et opinions des Canadiennes et Canadiens concernant l’utilisation des médias numériques dans la prévention et le traitement de l’arthrite.

L’étude a interrogé les Canadiennes et Canadiens, en français et en anglais, afin d’évaluer leurs opinions et leurs priorités concernant l’utilisation des médias numériques dans la gestion de l’arthrite. Posées à des personnes atteintes de problèmes musculo-squelettiques (os, muscles et articulations) et à leurs fournisseurs de soins, les questions de l’étude portaient sur les défis de la prévention et du traitement de l’arthrite. On leur a également demandé quel était, d’après eux, le rôle des médias numériques dans la gestion de la polyarthrite rhumatoïde.

Défis


Les répondants ont identifié la douleur (48 pour cent), la perte de mobilité (35,6 pour cent) et la perte d’autonomie (34,6 pour cent) comme étant les défis principaux auxquels les personnes arthritiques doivent faire face


Stratégies de traitement


L’activité physique (44 pour cent), la médication (37,8 pour cent) et la physiothérapie (15,2 pour cent) ont été les stratégies les plus fréquemment mentionnées


Prévention


  • L’exercice (33,8 pour cent), l’alimentation (21 pour cent) et un poids santé (13,8 pour cent) ont été les stratégies de prévention les plus souvent mentionnées
  • 11,6 pour cent des répondants ignoraient comment on pouvait prévenir l’arthrite


Médias numériques


  • 24,2 pour cent des répondants ignoraient comment ils pourraient être utilisés
  • 22,4 pour cent des répondants estimaient que les médias numériques pouvaient offrir du matériel didactique, surveiller l’exercice physique (15,4 pour cent) et faire le suivi des symptômes (7,8 pour cent)


En gros, l’étude a permis de découvrir des lacunes dans la sensibilisation à la prévention et au traitement de l’arthrite et dans la perception du rôle des médias numériques, des lacunes qui se traduisent par des opportunités de collaboration future entre le comité ACE et les chercheurs afin de faire progresser l’application des connaissances dans ce secteur important.


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Arthritis Consumer Experts (ACE) offre aux Canadiens et Canadiennes atteints d'arthrite une formation fondée sur la recherche, une formation en sensibilisation à l'arthrite, un lobby influent et de l'information. Nous aidons les personnes vivant avec n'importe quelle forme d'arthrite à prendre en charge leur maladie et à prendre part au processus décisionnel concernant la recherche et les soins de santé. Les activités d'ACE sont orientées par les membres et dirigées par des personnes atteintes d'arthrite, d'éminents professionnels de la santé et le Conseil consultatif d'ACE. Pour en savoir plus sur ACE, rendez-vous à www.jointhealth.org


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Au cours des 12 derniers mois, le comité ACE a reçu des subventions sans restrictions de la part de : BIOTE¬Canada, Bristol-Myers Squibb Canada, centre Arthrite-recherche Canada, Corporation AbbVie, Amgen Canada, GlaxoSmithKline, Hoffman-La Roche Canada Ltée, Instituts de recherche en santé du Canada, Consortium canadien de recherche en rhumatologie, Celgene Inc., Janssen Inc., Pfizer Canada, Purdue Pharma L.P., Sanofi Canada, Hôpital St-Paul de Vancouver et l’université de la Colombie-Britannique. ACE a égale¬ment reçu des dons privés provenant des membres de la collectivité arthritique (personnes souffrant d’arthrite) de partout au Canada.

Le comité ACE remercie ces organismes privés et publics de même que les membres de la collectivité arthritique pour leur soutien.


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